Le premier Leica d'Henri Cartier-Breson, exposé à la Fondation HCB.
(photo Leica IIIf, elmar 3,5/50)
En découvrant à la Fondation HCB le premier Leica d'Henri Cartier-Bresson, c'est bien la question qu'on se pose. Pour viser avec ce Leica I, dépourvu de viseur intégré (et bien sûr de télémètre) il faut utiliser le minuscule viseur de type Galilée plaçé sur le dessus de l'appareil. Quelques jours plus tard j'ai pû en tenir un dans les mains (à la foire photo de Palavas), et regarder dedans. C'est franchement minuscule, inconfortable, et d'une précision pas vraiment diabolique. Quand en pense que pratiquement toutes ses photos n'ont jamais été recadrées et que son cadrage et ses compositions étaient justement réputé pour être "au milimètre" -et ce dès ses premières photos des années 30, celles prises avec cet appareil- on ne peut que se poser la question.
(photo Leica IIIf, elmar 3,5/50)
En découvrant à la Fondation HCB le premier Leica d'Henri Cartier-Bresson, c'est bien la question qu'on se pose. Pour viser avec ce Leica I, dépourvu de viseur intégré (et bien sûr de télémètre) il faut utiliser le minuscule viseur de type Galilée plaçé sur le dessus de l'appareil. Quelques jours plus tard j'ai pû en tenir un dans les mains (à la foire photo de Palavas), et regarder dedans. C'est franchement minuscule, inconfortable, et d'une précision pas vraiment diabolique. Quand en pense que pratiquement toutes ses photos n'ont jamais été recadrées et que son cadrage et ses compositions étaient justement réputé pour être "au milimètre" -et ce dès ses premières photos des années 30, celles prises avec cet appareil- on ne peut que se poser la question.
Viseurs de type Galilée sur Leica IA
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